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Rapport financier
Bilan
Le total du bilan a diminué d’environ CHF 500'000 par rapport à l’année précédente.
Les Créances de ventes et de prestations de services sont en augmentation par rapport à 2016. Quelques factures n’ont pu être envoyées qu’à la fin de l’année, car des données de membres nous ont été livrées avec retard. Il en résulte un solde légèrement plus élevé des créances de débiteurs. Le Ducroire (A2) a en conséquence dû être légèrement augmenté.
La position Actifs de régularisation reste quasiment inchangée par rapport à l’année précédente.
Les Immobilisations financières et participations n’ont pas varié par rapport à l’année précédente.
Les postes Machines de bureau/mobilier et Infrastructures informatiques réunis à la position Infrastructures mobilières ont fait l’objet d’un amortissement linéaire sur la base de leur durée d’utilisation. Leur valeur est donc plus basse qu’en 2016.
Les Charges de software informatique figurant à la position Valeurs immatérielles sont également amorties de manière linéaire sur la base de leur durée d’utilisation. Elles sont néanmoins plus élevées qu’en 2016, car les logiciels ont été actualisés et comptabilisés comme des investissements. Il en résulte un solde plus élevé des Valeurs immatérielles que l’année précédente.
Un amortissement ordinaire de 3% (Immobilisations incorporelles) a été opéré sur l’immeuble du Secrétariat central.
Les Dettes à court terme résultant d’achats et de prestations de services envers des tiers et les Autres dettes à court terme ont légèrement augmenté. Il s’agit là d’une part d’engagements envers des tiers, qui ont peu varié et d’autre part de la forte augmentation de la dette envers la solution de branche Sécurité au travail.
Un montant a été inscrit au poste Passifs de régularisation pour la révision des comptes 2017. En outre, divers frais saisis après coup ont été pris en compte.
L’absence de modification du solde de la position Dettes à long terme portant intérêt s’explique par le fait qu’il n’a pas été procédé à l’amortissement d’une hypothèque supplémentaire par rapport à 2016.
Les Provisions présentent une baisse importante par rapport à l’année précédente. Les provisions constituées en 2015 dans la perspective de la modification de la structure des membres ainsi que pour l’achèvement du projet «Révision du TARMED» ont été dissoutes. A toutes les positions du bilan, des provisions sont disponibles pour les risques identifiables.
Le Bénéfice annuel affiche CHF 5’664 ce qui, avec le Capital social et les Capitaux liés, porte les Capitaux propres à quelque CHF 2,14 Mios.
Compte de résultat
Le Produit d’exploitation total est légèrement inférieur à celui de l’année précédente.
Les réserves constituées en 2016 dans les Cotisations ont été entièrement restituées aux membres. Pour ce faire, des factures plus basses ont été envoyées. Le calcul des cotisations, parfois assez compliqué, a entraîné une légère hausse des charges d’exploitation et des produits par rapport au budget.
Les Frais d’inscription / examens ne correspondent pas aux montants inscrits au budget, car la Conférence comptabilité et contrôle de gestion n’a pas été organisée, faute de nouveautés importantes.
La position Ventes comprend la vente de diverses publications spécialisées, de directives et de formulaires. Un léger recul des recettes a été enregistré par rapport à 2016 pour l’ensemble des articles.
Les revenus tirés des Statistiques hospitalières externes atteignent un montant inférieur de 25% à celui de l’exercice précédent, car les cantons de Zurich et de Schaffhouse ne participent plus à la statistique SOMED depuis l’année sous revue.
Comme l’an dernier déjà, le marché publicitaire est difficile dans le domaine des médias imprimés. Les recettes de la revue Competence varient légèrement par rapport à l’année précédente et, en raison des attentes trop optimistes, elles s’éloignent davantage du budget.
Les Produits divers recouvrent plusieurs positions, parmi lesquelles le Congrès de H+ qui a lieu tous les deux ans. L’édition 2017 du congrès contribue à expliquer la forte hausse par rapport à l’exercice précédent. De plus, davantage d’hôpitaux se sont fait certifier REKOLE®, ce qui entraîne des produits supplémentaires.
Les Charges de personnel ont pu être légèrement réduites en regard du budget, comme par rapport à l’année précédente. En comparaison avec 2016, ce sont les frais de déplacement qui sont moindres. Quant à l’écart par rapport au budget, il s’explique par le retard pris par le projet Registres/Normes, ce qui a réduit les charges pour les traductions et les collaborateurs externes. De plus, il n’a pas été nécessaire de recourir à des collaborations externes pour des expertises juridiques. Et comme il n’y a pas eu de décisions REK, il n’y a pas non plus eu de coûts de traduction pour le programme d’examen et pour la check-list.
Contrairement aux prévisions, SwissGAAP FER (Recommandations relatives à la présentation des comptes RPC) n’a pas publié de nouveau manuel, il n’a pas été nécessaire d’adapter la solution de branche. Les coûts de traduction et de publication ont donc été réduits.
Le département de la Communication a publié moins d’articles eFlash, avec pour corollaire des coûts pour les traductions et pour les collaborations extérieures moindres également.
Le développement de la version 8.0 d’ITARK_K a généré des charges supplémentaires, mais les coûts pour les traductions ont aussi été moins élevés que prévu, car les instructions n’ont dû être que marginalement adaptées.
Les Charges administratives et de distribution sont nettement plus élevées que les prévisions budgétaires et qu’en 2016. Deux raisons l’expliquent: la cotisation à l’OdASanté a été augmentée sur la base d’un vote des membres de cette organisation. H+ s’opposait à cette hausse. De plus, des provisions supplémentaires ont été constituées pour la contribution aux charges d’exploitation d’ats-tms sa.
Les Amortissements correspondent au budget. Ils sont en léger recul par rapport à l’année précédente. Mis à part l’actualisation des logiciels en 2017, il n’y a pas eu de gros investissements.
Les Charges financières sont un peu plus élevées que l’année précédente. Les intérêts hypothécaires, d’une part, ont été moindres qu’en 2016, en raison du remboursement d’une hypothèque cette année-là. D’autre part, les intérêts négatifs facturés par les banques ont été comptabilisés pour la première fois.
Les Produits financiers sont quasi identiques à ceux de l’exercice passé. Comme les années précédentes, la différence par rapport aux prévisions s’explique par la prudence budgétaire de H+ compte tenu des incertitudes sur le niveau des taux d’intérêt.
Du côté des Revenus extraordinaires, uniques et étrangers à l’exercice, on observe une différence notable par rapport à 2016. Les réserves constituées en 2015 en prévision des changements attendus dans la structure des membres en raison de fusions ont été dissoutes.
Aux Dotations exceptionnelles aux réserves (A 9.2), le fonds pour charges annexes consacré à l’entretien de l’immeuble a été relevé.
H+ clôt l’exercice 2017 sur un Bénéfice annuel de CHF 5'664.
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